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Presque Moi

Gourmandises et billets d'humeur, à Londres ou ailleurs

Bye bye love

Bye bye love
Bye bye happiness
Hello loneliness
I think I'm gonna cry

I'm through with romance
I'm through with love
I'm through with counting
The stars above

Une fois de plus j'ai essayé, une fois de plus j'ai échoué. Ou bien je me suis trompée; le résultat est le même.

Je m'y attendais pourtant, j'avais ironisé, on en avait plaisanté: "jamais deux sans trois". J'ai quand même espéré comme une gamine.

Il aurait fallu s'arrêter au bon souvenir, résister à la tentation. Le malentendu aurait pu être radical, or il a nourrit l'espoir. Court et fragile espoir assassiné par un passé carnivore et le souhait de faire le vide.

Un accident travesti en destin, le printemps et le Canal St Martin: nous avons à nouveau succombé.
Nouvelle tentative rapidement avortée par répondeur interposé, mais heureusement ranimée à temps. Pour si (trop) peu de temps: le troisième essai ne sera pas transformé.

Trop de revirements, de questions, d'absences et de silences, de peur, de retenue. Message reçu.

Après 2 mois et demi, j'ai mal au coeur, j'ai mal au corps.



PS: Merci pour Bukowski. J'ai compris. (ici)
              
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C
Dommage que ce sont des noirs ressentiments qui font de si beaux textes...
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O
Merci Chris.
C
Le persone che ti vogliono bene, sono come le stelle, non le vedi sempre, ma sai che ci sono. potrai sempre contare su di me;<br /> Un po di reconforto....<br /> Due esseriproprio come noitu ed ioche sanno scriverelettereche non sannodi nulla.Come due intellettualiche hanno bevutovecchia birrae parlanodi se stessi.Due essericome noiche sanno dirsitante cosesenza sensodovrebbero viverecome contadiniin terre lontanee scavare con le maniprofonde bucheper seppellirvila propria ariditàa primavera
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M
Oh, ma fille chérie, je te serre très fort dans mes bras .
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P
Je t'embrasse très fort, et t'envoie mille millions de pensées positives.
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A
Quand on n'est pas en forme on tombe toujours sur un poète qui nous l'explique en vers. Verlaine l'a fait pour toi. Nature, rien de toi ne m’émeut, ni les champs Nourriciers, ni l’écho vermeil des pastorales Siciliennes, ni les pompes aurorales, Ni la solennité dolente des couchants. Je ris de l’Art, je ris de l’Homme aussi, des chants, Des vers, des temples grecs et des tours en spirales Qu’étirent dans le Ciel vide les cathédrales, Et je vois du même œil les bons et les méchants. Je ne crois pas en Dieu, j’abjure et je renie Toute pensée, et quant à la vieille ironie, L’Amour, je voudrais bien qu’on ne m’en parlât plus. Lasse de vivre, ayant peur de mourir, pareille Au brick perdu jouet du flux et du reflux, Mon âme pour d’affreux naufrages appareille. Mais sinon ... Je te souhaite evidemment un rebond et une réponse cinglante et brillante aux mots de ce viel alcoolique, pour l'instant je t'envoir une bise volante, de Lyon à Paris, de FT à smallbiz@megacorp : smack !
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O
;) Merci Ayrton...